L’art que l’on crée n’a aucun impact sur ce monde
Seul, change le regard qui façonne ce monde
Vous craignez la mort autant que je la redoute
Or nous ne sommes que le fragment d’une route
Ainsi comprit-il à travers l’art de la vie
Qu’il devait voir en la mort un monde fleurie
Que la mort ne nous embrasse point pour punir
Si bien qu’elle donne naissance à l’avenir
Je vous invite donc à vous asseoir ainsi
A contempler le sage de Kamakura
Et attendre avec moi le brave qui pourra
Vivre la paix, synonyme du paradis